Construisons ensemble une communauté d’entrepreneurs forts
L’actualité
Qui suis-je ?
MARC-WILLIAM ATTIE – Dirigeant & Entrepreneur
Président D’Ethique et Développement – Firm ActionCOACH Paris – ActionCOACH Europe Francophone – fit20 France
REUSSIR ET AIDER A REUSSIR : L’Entrepreneuriat est, pour moi, l’un des meilleurs moyens pour créer du lien social et de la « valeur partagée ». C’est pourquoi, j’accompagne les Entrepreneurs et les Entreprises dans la réalisation de leurs potentiels..
Mission
Aider les entrepreneurs à obtenir « mieux » pour eux et pour les autres.
Créer une communauté de 10 000 entrepreneurs éthiques, solidaires et performants.
Vision
Je suis convaincu que l’entreprenariat est le meilleur moyen pour assurer mobilité et brassage social, économique et culturel. C’est pourquoi je dédie mon énergie à la réussite de ceux qui entreprennent.
Valeurs
Je pense que c’est à l’intérieur de moi que je trouve les forces nécessaires à l’accomplissement de ma mission et donc à son impact sur le monde qui m’entoure.
Et je pense qu’il en est de même pour tous.
Ces forces puisent leur source dans les Valeurs que je nomme « Éthique ».
Entreprendre – Kaizen – Se réaliser – Soutenir – Reussir
Les évènements
Les entités
ActionCOACH est le numéro 1 mondial du Coaching de chefs d’entreprise et dirigeants de PME, un coach d’affaires ActionCOACH est probablement situé près de chez vous.
Il permet à un chef d’entreprise de TPE ou PME de bénéficier de la seule méthode éprouvée mondialement, de booster ses affaires et ses équipes, d’améliorer sa qualité de vie pour un coût très abordable sans risque grâce à notre garantie de résultat.
fit20 est un concept de franchise innovant, originaire des Pays-Bas. Il s’agit d’une séance intensive totalement individualisée dans un studio privatisé, sans besoin de se changer et avec un coach personnel !
Avec cet entraînement personnalisé, les membres obtiennent des résultats notables et mesurables en 20 minutes par semaine seulement.
Hunteed est une plateforme de mise en relation entre entreprises et cabinets de recrutement. Depuis 2016, cette startup de la HR Tech propose aux entreprises une solution performante pour simplifier et centraliser l’ensemble de leurs recrutements externalisés. Elle rassemble aujourd’hui la plus grande communauté de cabinets de recrutement de France.
Ecojoko est un assistant connecté d’économie d’énergie permettant de mesurer et d’apprendre à limiter sa consommation d’électricité afin de diminuer progressivement son empreinte carbone.
Un assistant anti gaspi aussi utile qu’efficace pour agir au quotidien, préserver l’environnement et son porte-monnaie.
Expérience des seniors, énergie des juniors
Pour réussir un projet d’entreprise, faisons dialoguer les générations.
En tant que dirgeant, j’ai pu observer une tendance de plus en plus fréquente qui pousse les jeunes diplômés à créer leurs entreprises dès la sortie des écoles, souvent faute d’emplois.
L’idée est évidemment louable. Néanmoins, il faut faire preuve de prudence, car l’entrepreneuriat n’est pas chose aisée. Si certains réussissent particulièrement bien, bon nombre de jeunes entreprises disparaissent faute de stratégie adéquate, de business-plan solide et de préparation préalable à ce qu’est l’entrepreneuriat : un investissement certain pour un résultat incertain. L’entrepreneuriat est donc une prise de risque et l’acceptation de l’échec.
L’une des principales raisons des échecs est le manque d’expérience des créateurs. Il est en effet fortement souhaitable d’avoir déjà fait ses armes au sein d’une entreprise avant de monter la sienne. Dans une structure déjà établie, on peut se permettre de commettre des erreurs qui seraient fatales pour sa propre affaire.
Comment alors créer son entreprise lorsque l’atout majeur, l’expérience, fait cruellement défaut ? La solution se situerait du côté d’une autre catégorie sociale : les seniors.
Le contrat de génération établi dans le cadre du projet de loi sur les emplois seniors prévoit d’employer des jeunes diplômés en CDI tout en maintenant les emplois des salariés seniors âgés de plus de 57 ans. L’objectif est d’assurer à la fois la transmission des compétences et la mise à jour des connaissances.
Pourquoi ne pas envisager ce type de fonctionnement dans le cadre de la création d’entreprises ? Pourquoi ne pas créer les conditions pour permettre la mise en commun à la fois des expériences des seniors et de l’énergie des juniors ?
Trop chers pour le marché du travail ou parce que leurs compétences sont dépassées, 17% des seniors actifs envisagent de créer leur entreprise en prévision de leur fin de carrière et 49 % des Français encouragent un senior de leur famille à créer sa propre entreprise*. Ils bénéficient d’une expérience importante, d’un réseau, d’un savoir-faire et d’une connaissance accrue du marché. Un jeune quant à lui, a de l’imagination, de l’ambition, de l’énergie et surtout des connaissances actualisées, car rappelons-le, l’employabilité des personnes à long terme n’a toujours pas été correctement développée.
Mutualiser toutes ces qualités ne peut être que bénéfique et l’association de ces profils détonants.
Néanmoins, que l’on soit senior ou junior, il est essentiel de ne pas perdre de vue certaines particularités de l’entrepreneuriat. Pour réussir il est nécessaire d’anticiper, d’être animé par une volonté d’agir, d’accepter de faire des sacrifices financiers et de donner de son temps sans compter.
Il est aussi important d’être bien entouré. S’assurer d’avoir autour de soi des personnes aux compétences différentes qui peuvent apporter leurs connaissances et mettre à disposition leur expertise est souvent l’un des éléments manquants. Il faut un réseau structuré et diversifié pour être challenger à chacune des différentes étapes de la création de l’entreprise.
Quel que soit l’âge ou le parcours, il faudra continuer à y croire et à rester optimiste. Mettons toutes les chances de notre côté pour permettre à des idées de devenir des projets et à des projets de devenir des entreprises. Pour réussir nos projets d’entreprises, faisons dialoguer les générations.
*Site de BPI France Création, anciennement APCE 2018,
Marc-William Attié
Economie et optimisme
Pour une économie….choisissons l’optimisme !
En tant que dirigeant, j’ai pu accompagner des milliers d’entreprises. Je n’ai pu m’empêcher d’observer une tendance générale à la morosité.
On nous rappelle chaque jour que nous traversons une période de décroissance. C’est vrai, mais il est nécessaire de rappeler que d’une part, elle est globalement assez faible, et d’autre part, elle est due au développement record, continu et normal des pays émergents. Le monde n’est pas en crise mais en mutation.
Talents, savoir-faire, recherche et innovation ne cessent de se développer dans tous les pays. Il est de notre devoir, dans un contexte international aussi dynamique, de passer à l’action en choisissant la meilleure stratégie : l’optimisme.
Si l’optimisme, dans son acception la plus courante, désigne une attitude qui consiste à voir le bon côté des choses, je considère qu’être optimiste c’est passer à l’action. C’est une dynamique constructive qui mobilise les compétences et les initiatives individuelles et collectives. Être optimiste, c’est agir sur la réalité à laquelle nous sommes confrontés pour en tirer le meilleur.
Arrêtons de marteler que la France va mal, qu’elle décline, que la courbe du chômage tarde à s’inverser et que le moral des Français est au plus bas. Ne soyons pas nostalgiques d’une époque où la France était aux côtés de quelques autres pays, une puissance coloniale. N’oublions pas que notre pays est la 5e puissance mondiale. Bien qu’internationalement nous représentions moins de 1% de la population, notre PIB, lui, en avoisine les 3,7% et le niveau de notre patrimoine par habitant est 10 fois supérieur à la moyenne internationale.
Broyer du noir est un de nos travers. Nous pouvons le constater très tôt, sur les bancs de l’école. Dans certains pays une dictée de 300 mots comportant 30 fautes ne rapporte pas un 0 pointé à son auteur mais un 90% de bonnes réponses. Il serait judicieux de repenser notre système éducatif pour en finir avec l’élitisme et le repli sur soi. Prenons exemple sur les systèmes éducatifs basés sur l’encouragement et non la punition. Ils ont l’avantage de former de futurs adultes, salariés ou entrepreneurs, plus optimistes, plus aptes à faire face aux difficultés sans avoir peur de l’autre mais, bien au contraire, en agissant avec lui.
L’optimisme doit nous pousser à l’action et nous sortir d’un attentisme passif vis à vis d’un État providence porteur de solutions miracles. Pensons collectif pour mieux agir ensemble. Mettons nos compétences et nos ressources en commun. Il est formidable de constater qu’aujourd’hui de plus en plus de Français choisissent d’investir dans des projets à taille humaine auxquels ils croient. Ils se sentent utiles et prennent part activement au développement économique. C’est une belle preuve d’optimisme à laquelle s’ajoute la propension de plus en plus répandue au travail en réseau.
La croissance économique dépend de la rencontre des talents, des savoir-faire, de la recherche, de l’énergie et de l’argent. Une des difficultés à laquelle nous faisons face aujourd’hui découle d’un message ambiant qui fait fuir talents et investisseurs.
L’optimisme permet à l’individu de réussir à atteindre ses objectifs et, en tant que valeur commune, il permet d’obtenir des résultats collectifs bien au delà de nos espérances individuelles. La solidarité et l’entraide exprimées dans l’optimisme, permettent de transformer des projets en réalités.
Alors, agissons ensemble et repoussons nos limites. N’ayons pas peur de prendre des risques, ne fuyons pas l’échec. Aujourd’hui en France de plus en plus d’entrepreneurs s’entraident en s’organisant en réseau. Ils partagent ainsi leurs énergies, leurs idées et leurs expertises. Il n’appartient qu’à nous de créer nos règles du jeu si nous ne voulons pas nous adapter à celles des autres. Il n’appartient qu’à nous de réussir et d’en être fiers.
En un mot : soyons tous optimistes et agissons !
Marc-William Attié.